Qui sont-ils ? ( G à N ) - Ernest Olivié - Grande Guerre 14-18

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G

GALANDRIN Jean-Marie, Auguste, Clément né le  18/08/1893 à Laguiole (12) – Séminariste à Rodez - Adjudant au  122 e R.I. – Blessé en août 1914 - Tué près de la Ferme de Beauséjour (Marne) dans la nuit du 23 au 24 août 1915 -     Citations 1. Ordre Armée le 12 sept. 1916 «  Même texte que ci-dessous. »  2. Médaille militaire posthume le 15 juin. 1920 : «  Le 24 août 1915, est sorti spontanément en avant de la tranchée de première ligne pour reconnaître d’où provenaient des bruits de travaux ennemis. A été mortellement blessé dans cette reconnaissance. Avait déjà été blessé en août 1914. A été cité. »    cf. 09/07/15

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GALAS Docteur au 122 e R.I. cf. 03/05/16, 04/05/16

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GARIBAL Germain de Glassac (12), campagne de Salonique cf.  lettre du curé de Glassac du 11/12/17

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GARIBAL Adrien Léon François né le 27 nov. 1882 à Rignac (12) -  Prêtre à Aubin (12), élève au Séminaire français de Rome – Mobilisé au 122 e R.I. le 4 août 1914 – Caporal le 18 sept. 1914 - Sergent fourrier, 122 e R.I. 1 ère Cie - Tué à Thiaumont près de Verdun le 4 août 1916 – 3 citations : 1. Ordre 31 e D.I. le 1 er juil. 1915 «  Prêtre dans la vie civile, s’est montré, depuis le début de la campagne, comme un modèle d’abnégation et de courage. Passe ses nuits auprès des blessés, qu’il soigne ou qu’il encourage, ou bien aux créneaux, où il est guetteur volontaire. » 2. Ordre 122 e R.I. le 22 août 1916 : « Excellent sous-officier, a su organiser les différentes liaisons de sa compagnie sous un violent bombardement. Tué dans l’accomplissement de son devoir, le 4 août 1916. » 3. Médaille Militaire posthume le 30 août 1920 : « Sous-officier ayant eu au feu une belle attitude. Tombé au champ d’honneur pour le salut de la patrie, le 4 août 1916, à Thiaumont. Croix de guerre avec étoile d’argent. »     cf. 7/8/16, lettres de M. Belmon des 11 et 28 août 1916

                                                  

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GASQ Urbain  Norbert Hippolyte né le 5 janvier 1889 à  Castelnau-de-Mandailles ( Av. ), séminariste à Rodez, sous-diacre, 2 e Classe au  81 e R.I. mort le 16 février 1915 de la fièvre typhoïde à l’hôpital temporaire n° 56 de  Dunkerque, cf. 29/06/15

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GAUDARD  ( orthographe incertaine ) "Lieutenant du 142e R.I. tué à l'ennemi le jour de son arrivée aux tranchées" dans la bataille de Champagne en avril ou mai 1915. Pourrait être le lieutenant GAUDARD Armand Alfred du 106e R.I. mort le 06/04/15 aux Eparges ( Meuse), né le 20/10/90 à Tanconville ( Meurthe-et-Moselle)  cf. 18/05/15

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GAVALDA    Urbain     né à Connac près de Réquista ( Aveyron ) le 23 oct. 1887 – Vicaire  à Flavin et à St-Jean-de-Bruel – Récupéré le 7 avr. 1915 au 9 e R.A.C. – 122 e R.I. en juin 1915 - - 9 e Bataillon de marche le 15 août 1915 - 143 e R.I. le 30 sept. 1915 – agent de liaison – aumônier brancardier le 8 oct. 1916 – caporal en juill. 1918 – une blessure (1916) – Deux frères tués – Démobilisé le 27 mars 1919 – 3 citations : 1. Ordre 143 e R.I. le 10 nov. 1916 «  Agent de liaison, s’est distingué par son activité et son esprit de sacrifice. Pendant deux heures, sous le plus violent bombardement,  a assisté son commandant de compagnie, mortellement blessé. »  2. Ordre 143 e R.I. 11 juill. 1917  « Brancardier méritant et courageux, a participé activement, sous le feu, au déblaiement d’un abri défoncé par une bombe, assurant, dans des circonstances particulièrement difficiles et sous les yeux de l’ennemi, plusieurs évacuations. »  3. Ordre I.D. 10 oct. 1918 «  Caporal -  brancardier  d’un dévouement et d’une abnégation au-dessus de tout éloge. Pendant les combats du 31 août au 4 sept., a dirigé ses équipes de brancardiers avec un zèle inlassable, allant  ramasser lui-même, sous les rafales des mitrailleuses, des blessés aux endroits les plus exposés, au-delà des premières lignes. »    cf. 16/08/17

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GAYRAUD  Jean  Pierre né le 19/02/1880 à Murasson (12), vicaire à la cathédrale de Rodez, caporal brancardier au 3 e Zouaves, décédé le 25/09/15 à St-Hilaire le Grand (Marne) : cf. 14/10/15

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GINESTOUS séminariste à Rodez, 81e,  cf. 10/09/15, 01/01/16

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GLEISE  ou GLEIZES ou GLEIZE     au 122 e R.I. 21 e Cie dans la campagne de l’Aisne, en même temps qu’Olivié en 1916       cf. : lettres Estéveny des 28/12/15 et 28/3/1916, lettre d’Ernest Olivié à Estéveny du 12/03/16, 09/07/16, 12/07/16

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GRIALOU Henri né le 02/12/1894 au Gua près d’Aubin (12) – Séminariste avec Ernest Olivié – Mobilisé caporal  au 122 e R.I. le 2 août 1914 - Sous-lieutenant le 10 juin 1916 - Lieutenant au 239 e  R.I. le 15 juil. 1916 - Au 75 e R.I. en nov. 1917 – 2 citations : 1. Ordre Armée, 18 juin 1917. « Le 10 juin 1917, au cours d’un coup de main, a montré le plus brillant courage à la tête de son groupe. Malgré la résistance énergique de l’ennemi, a ramené plusieurs prisonniers et détruit des abris remplis d’Allemands. » 2. Ordre 27 e D.I. le 19 oct. 1918. «  Chargé d’exécuter une reconnaissance offensive dans la nuit du 11 au 12 oct. 1918, a brillamment entrainé sa compagnie, à laquelle il avait su inspirer son ardeur et sa confiance : a, par une manœuvre rapide et hardie, repoussé un parti ennemi qui l’avait attaqué à flanc. » -   Démobilisé le 3/9/1919 – Ordonné prêtre à Rodez  le 04/02/1922, vie religieuse intense dans l’Ordre du Carmel, prend le nom de Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus fondateur de l’ Institut Notre-Dame de Vie, mort le 27/03/1967 à Venasque ( Vaucluse). L’Église catholique a ouvert son procès en béatification en 1985. Béatification en Avignon le 19 Nov. 2016. cf. CP d’Olivié à Grialou fin 1914,  09/03/15, 19/05/15, lettre d’Ernest Olivié à Estéveny du 12/03/16, lettres Estéveny du 12/07/16, du 10/12/16, du 24/01/17, du 08/03/17, du 07/04/17 et du 05/12/17, lettres du 12/11/1916, du 21/12/16 et du 24/11/17, extraits de lettre des 30/07/18 et 03/09/1918.

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GUIRAUD  Marius  Prêtre des Missions Étrangères de Paris, né à Plaisance (Aveyron) le 2 janvier 1876. Mobilisé en août 1914. Fait prisonnier lors de la retraite de Charleroi, rapatrié d’Allemagne en 1915, infirmier à Perpignan, caporal infirmier volontaire au 81 e R.I. tué par une bombe en Argonne le 12 novembre 1916, en portant comme volontaire un ordre en première ligne, enterré au Camp de Monhoven. Deux citations : une en août 1916 au 81 e R.I. pour un acte de bravoure lors d’un incendie du P.C le 08/08/16, la 2 e posthume : «  Prêtre et infirmier, prisonnier rapatrié. Affecté au G.B.C. a demandé malgré son âge ( classe 1896 ) à être versé dans un régiment d’infanterie. Aimé de tous pour sa bonté et sa sollicitude envers les blessés, pour ses sentiments de camaraderie, de devoir et d’abnégation poussés jusqu’au sacrifice. S’est signalé partout où le régiment a donné, notamment à Verdun. A été tué, le 12 novembre 1916, alors qu’il venait de s’offrir spontanément, comme agent de liaison, pour aller, sous un bombardement violent, porter un ordre en première ligne. » cf. 14/11/16, 20/12/16

H

HILARI  Auguste né le 18 octobre 1895  à Lorient ( 56 ) , caporal  mitrailleur au 76 e  d’Infanterie, décédé le 23 mai 1915 à Vauquois ( Meuse ) : cf. 09/07/15

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HUE  caporal 122 e R.I. , cf. 04/06/15

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J

JOUANNO  Eugène-Pierre-Marie, écrit JOUANNAU dans les carnets d’Ernest Olivié, né le 10 nov. 1884 à Quimperlé ( Finistère),  prêtre de la Congrégation du St-Esprit, curé de St-Martin (île de la Réunion ), revenu de la Réunion - Mobilisé le 10/05/1915 - Brancardier au 96 e R.I. à partir du 10/09/1917 – Actions en 1918 : Alsace, Flandres, Mont Kemmel ( 29 avr. et 1 er mai), Aisne, poursuite des Allemands (nov.) - Démobilisé le 19/02/1919 - A eu deux frères tués à la guerre – Citation à l’ordre du 96 e R.I. le 22/06/1918 : «  Brancardier courageux et dévoué, a fait preuve d’une bravoure remarquable pendant les journées des 30 avr. et 1 er mai 1918, en relevant en plein jour, malgré le feu des mitrailleuses et de violents tirs de barrage, un nombre considérable de blessés graves »  cf. 21/10/17, 02/11/17, 14/11/17, 20/11/17, CP du 21/11/17,  24/11/17, 10/12/17, 11/12/17, 16/12/17, 23/12/17, 25/12/17, 30/12/17, 02/01/18, 05/01/18, 09/01/18, testament d’Ernest Olivié en date du 29/04/18

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JOUY  sous-lieutenant  cf. 19/06/16

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L

LABADIE  Joseph Eugène – né le 20 janv. 1894 à Cavanac (Aude) - Séminariste à Carcassonne – Mobilisé au 122 e R.I. le 13 janv. 1915 - Brancardier au 122 e R.I. – 8 e Génie le 15 mars 1918 – Démobilisé le 6 sept. 1919 – Curé à Soulatgé (Aude) – 3 Citations : 1. Ordre 122 e R.I. le 14 juin 1915 : «  Sans la moindre hésitation, s’est précipité dans un entonnoir qu’une mine venait de creuser. Le colonel lui adresse ses félicitations les plus sincères pour l’énergie, le dévouement et la bravoure dont il a fait preuve en la circonstance. »  2. Ordre 122 e R.I. le 21 avril 1917 : «  Le 28 mars 1917, a fait preuve d’un courage remarquable en réparant, à plusieurs reprises, une ligne téléphonique sous un violent bombardement. S’était déjà distingué le 14 juin 1915, à Beauséjour, en s’élançant le premier dans l’entonnoir d’une mine allemande. »  3. Ordre 62 e Brigade, 1917 : « Chargé d’un poste de T.P.S., lors de l’attaque du 26 août 1917, a marché avec la première vague d’assaut et, arrivé au premier objectif, a installé son poste rapidement et judicieusement, établissant ainsi les premières communications avec l’arrière. A montré beaucoup de sang-froid et de mépris du danger. »    cf. 15/06/15, 05/11/15,25/11/15, 17/08/16, lettre du 10/12/16, lettres de Estéveny du 07/04/17et du 05/12/17, 07/05/17, lettre d’Ernest à Estéveny du 13/08/17

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LABOUGLE Charles Paul né le 2 juin 1876 à Villefranche-de-Rouergue - Sergent fourrier au 322 e R.I. 19 e Cie - Tué à Froideterre près de Verdun le 03/08/1916 - Officiellement "tué à l'ennemi le 3 août 1916 aux combats de Bras, Meuse Cote 321" cf. 03/08/16

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LACOMBE Urbain de Conques  , séminariste à Rodez, abbé  cf. 06/06/16

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LAGARRIGUE ( soit Albert de Castanet, soit Justin de Rulhe ), séminariste à Rodez, ami et confrère  cf. 17/12/15, lettre de Estéveny du 25/04/17

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LAGRANGE   séminariste à Bordeaux     cf. 27/05/16, 18/06/16, 02/07/16, 04/07/16, 05/07/16

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LAPISSE   Joseph Pierre  né à Tonnac ( Tarn ) le 1er  déc. 1890 – Mobilisé sous-lieut. au 342e R.I. le   2 août 1914 – Commandant compagnie de mitrailleuses en 1915 – Lieutenant T.T. le 27 mai 1915 – Capitaine le 13 nov. 1915 – Ordonné diacre à Mende le 26 déc . 1915 – Ordonné prêtre à Albi le 1er mai 1916 – Blessé le 29 août 1917 – Capitaine adjudant-major au 35e R.I. le 30 avril 1918 – Démobilisé le 12 août 1919 – 5 citations 1. Ordre Armée 8 sept. 1916 : «  S’est porté à l’attaque avec ses sections de mitrailleuses, donnant à tous l’exemple du calme et du sang-froid. Dès l’arrivée sur la position conquise, a remarquablement organisé ses sections, parcourant tout le front pour rectifier ses emplacements et assurer les flanquements, arrêtant par son tir efficace plusieurs très fortes contre-attaques ennemies. »   2. Ordre 35 e R.I. 1917 : «  Au front depuis le début. Très bon commandant de mitrailleuses. A fait preuve de belles qualités militaires pendant la période du 24 août au 5 sept. 1917. Blessé par balle, le 29 août, en se portant à l’emplacement d’une de ses sections, n’a consenti à se rendre au poste de secours que sur l’ordre de son chef de bataillon. A repris trois jours après le commandement de sa compagnie. »  3. Ordre 14 e D.I.  10 juin 1918 : «  À la suite de l’engagement du 20 mai 1918, s’est offert spontanément pour porter au commandement les renseignements sur la situation en fin de combat. A franchi des zones battues par de violents tirs de barrage et est parvenu, par sa connaissance exacte de la situation, à fournir des renseignements précieux sur la progression des unités engagées. »  4. Ordre 5 e U.A. 19 août 1918 : «  Chargé de conduire son bataillon sur ses emplacements de relève, le 16 juill. au soir, est arrivé en plein combat à proximité de la position. A pris aussitôt les dispositions les plus judicieuses  pour le combat et, quoique en partie isolé, a refoulé toutes les tentatives des reconnaissances ennemies qui cherchaient à le prendre de revers. Par son attitude énergique et ses brillantes qualités de commandement, a  facilité ainsi la reprise du mouvement le lendemain matin.  Le 26 juill. a pris le commandement d’un bataillon dont le commandant et l’adjudant-major avaient été blessés et l’a conduit dans sa progression avec autant de prudence que de résolution. »  5. Chevalier Légion d’Honneur J.O. 10 déc. 1920 : « Officier d’élite, a fait toute la campagne au front. S’est fait remarquer, en toutes circonstances, par sa bravoure, son énergie et sa ténacité. Une fois blessé, quatre fois cité. »      cf. 29/01/17

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LAHAYE   cf. 01/04/17

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LECONTE médecin auxiliaire, bon organiste ( prix du Conservatoire )   cf. 15/07/17, 16/07/17, 02/12/17, 06/12/17

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LE MAGNE    sous-lieutenant  cf. 19/06/16

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M

MAGNE Paul  Jean-Baptiste né le 16 oct. 1893 à  St-Géniès-d’Olt (12) – Séminariste des Missions Étrangères à Rodez -  Mobilisé au 122 e R.I. le 2 août 1914 - Sergent  – Tué le 14 mars 1915 au Fortin de  Beauséjour  - Médaille militaire posthume le 29 nov. 1920 : « Sous-officier énergique et dévoué. Est mort glorieusement, le 14 mars 1915, à Beauséjour. Croix de guerre avec étoile de bronze. »  cf.  lettre Poujol du 19/04/15

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MARRE Adolphe de Glassac (12), campagne de Salonique cf.  lettre du curé de Glassac du 11/12/17

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MAZARS cf. lettre Grialou du 12/11/1916

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MICHELET « ami » d’Ernest – 122 e R.I., cf.  28/12/16


MOISAN  Joseph-Marie, né à Lanouée (Morbihan) le 13 fév. 1877 – Chanoine, secrétaire général de l’évêché de Vannes- Réformé - Engagé volontaire aumônier bénévole 116 e R.I (août 1914) – Actions en 1915: Champagne et Tahure -  Blessé près de Sommepy le 29 sept. 1918 – Cinq frères mobilisés dont un prêtre – Démobilisé le 5 juin 1919 – 3 citations : 1. Ordre Armée le 21 oct. 1915 « Aumônier volont. des branc. de corps, détaché au 116 e R.I. du 25 sept. au 8 oct., s’est constamment tenu au poste de secours le plus avancé et parfois dans les premières lignes ; n’a cessé de prodiguer, avec un dévouement absolu et toujours avec le même sourire calme et confiant, ses encouragements aux blessés et aux mourants. Au front depuis le début de la campagne. »  2. Ordre 11 e R.I. le 15 déc. 1917 : « Parti à la mobilisation comme aumônier volontaire au 116 e R.I., y a exercé son ministère pendant près de trois ans et demi, avec un zèle et un dévouement inlassables, payant sans cesse de sa personne et contribuant largement à faire du 116 e R.I. une unité morale de premier ordre. Contraint de quitter le régiment par ordre supérieur, n’y laisse que regrets et souvenirs de respectueuse affection. Déjà cité à l’ordre de l’armée pour sa belle conduite aux attaques de Champagne. » 3. Chevalier Légion d’Honneur le 7 nov. 1918 : « Aumônier volontaire animé du plus bel esprit d’abnégation et de sacrifice. Toujours aux premières lignes depuis le début de la guerre, ne cesse de secourir les mourants, de réconforter les blessés, d’animer du plus beau zèle, par son exemple, les troupes au combat. A été blessé le 29 sept. au cours de l’offensive de Champagne, en accomplissant les devoirs de sa charge, sur un champ de bataille intensivement battu par le feu de l’ennemi. Deux citations. »  cf. 18/07/15, 19/09/15, 21/09/15

MONSARAT Lieutenant blessé en Argonne  cf. 04/10/16

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MONTEIL Jules, d’Espalion ou Graves, camarade de classe au séminaire de Rodez, "nouveau prêtre" en 1915  cf. lettres d’ Estéveny du 28/12/15 et du 24/05/16,  lettre de Poujol du 12/06/16, lettre Estéveny du 30/12/16

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MOREAU     capitaine 122 e R.I. Cie X   cf. 02/05/16

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N

NICOLAUD François Marius né le 22 mai 1889 à Cazouls-d’Hérault (34) - 96 e R.I. - Tué le 16/01/18 à Aspach ( Hte-Alsace ) par un bombardement  cf. 16/01/18, 17/01/18

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NIEL Paul, de Born (12), camarade de classe au séminaire de Rodez, ordonné prêtre le 27/05/16  cf. lettre Poujol du 12/05/16, lettre Estéveny du 24/05/16

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